Petit dejeuner "en famille", avec l'ami Ricoree, Tam, Martin, Aneta, et Theo (je n'ai pas dormi au backpacker, mais j'ai tout squatte : le parking, la salle-a-manger, la cuisine, les douches !).
Puis chacun reprend sa route : Martin, une marche dans les montagnes, Tam, son bus pour Queenstown (je la retrouverai tres certainement ce soir, puisque j'y vais aussi ; elle a deja paye son billet de bus, c'est pour cela qu'elle ne m'accompagne pas en voiture...). Theo et moi, l'un derriere l'autre, roulons tout le long du lac Pukaki, puis nos chemins se separent dans 2 directions opposees : lui, vers Christchurch, d'ou je viens, et moi vers Queenstown, donc...Une rencontre sympathique, qui se prolongera peut-etre dans quelques jours, au nord de l'ile du Sud...
Plus bas, les quartiers sont jeunes, touristiques, animes. Il y a beaucoup de bars aux terrasses agreables, une atmosphere tranquille, dynamique et conviviale que je n'avais trouve ni a Auckland, ni a Wellington.
C'est aussi la ville du sport par excellence : on croise des bonhommes cabosses par des crash en VTT de descente, d'autres qui reviennent d'une partie de canyoning ou de rafting. On peut egalement effectuer un des plus beau saut a l'elastique du pays, faire du parapente, du ski l'hiver. C'est encore le point de depart de nombreuses marches reputees ou de croisieres sur les lacs. Je n'aurai malheureusement pas le temps de pratiquer l'une ces activites; misere!...
Au bord du lac, entre 2 rafales de vent, je deguste chez Patagonia une enoooorme glace-2-boules comme je n'en ai jamais vu, dans un cone aussi gros qu'un volcan renverse! En attendant, c'est ma glace qui se renverse...
Apres une petite balade en altitude sur la Queenstown Hill Walkway, je retrouve Tam a 18.00pm au Visitor Centre. On profite des belles couleurs de cette fin de journee sur le lac, un vert-jaune eclatant des arbres, de la pelouse et des flancs de montagnes au loin, un bleu intense de l'eau. Puis elle m'emmene chez Fergburger, un petit resto apparemment assez couru. Et ce n'est pas vole, car j'y devore le meilleur hamburger que j'ai jamais mange. Il est gros, genereux, frais, goutu, pas gras, tendre, en un mot, delicieux!
Aujourd'hui dans le monde : Aujourd'hui, c'est un jour ferie en Nouvelle-Zelande. C'est en effet le 6 fevrier 1840 que fut signe le traite de Waitangi, entre les représentants de la couronne britannique et les chefs de la Confédération des Tribus unies de Nouvelle-Zélande, ainsi que d'autres chefs tribaux maori.
Le Traite fit formellement de la Nouvelle-Zélande une colonie britannique, et plus généralement, peut-être considéré comme l'acte de fondation de la Nouvelle-Zélande en tant que nation.
Contrairement a la France, jour ferie n'est pas synonyme de "vacances"...Tout est ouvert ici...
Mais aujourd'hui, c'est surtout la veille du 20eme anniversaire de ma 'tite soeur, et c'est bien la le plus important!!!
3 commentaires:
Réflexions sur le progrès technique.
Il m'est arrivé de lire au cours de mon adolescence, comme bien d’autres, quelques livres de sciences fiction (disons vers mes 15ans, soit il y a tout de même environ 35 ans).
L’avenir, dans ces bouquins, n’apparaissait pas forcément très rose et même parfois plutôt angoissant (question de suspense)
Je parle bien évidemment sous le contrôle de Stéphane dont les connaissances de ce genre littéraire ne sont plus à démontrer.
Ainsi, disais-je, les romans du père Isaac Asimov ou autres Arthur Clarke, mettent parfois en scène des héros en train de téléphoner avec leur montre et de faire toutes sortes d'opération bancaires à distance directement sur leur compte. Bref, ces héros faisaient des trucs complètement incroyables nés de l'imagination fertile d'auteurs carrément loufoques.
Puis lesdits héros avaient des problèmes avec les autorités et malheureusement, leur pass électronique, style "navigo" mais ne servant pas que dans le métro, était invalidé et ils ne pouvaient plus se déplacer librement, les caméras filmant et filant les fuyard, etc… Le frisson était garanti.
A l’époque, je n’y croyais pas bien sûr ou plutôt je pensais que cela n’arriverait que dans 150 ans et que je ne le verrai jamais alors que tout cela est en train de se réaliser maintenant et qu’à l’inverse, j'imagine qu’aujourd’hui un jeune de 15 ans ne peut même pas comprendre qu'à cette date les gens étaient à des années lumière de toutes ces prouesses technologiques actuelles qui sont pourtant désormais si banales et auxquelles on s’habitue si vite.
Et bien, tout ceci, mon cher Philippe, pour te dire que ton blog de voyage démontre que la technologie peut vraiment avoir du bon, et cela en dépit du futur cauchemardesque décrit dans certains vieux livres de science fiction. Mais c’était à des fins romanesques, à moins que ….
Oui, vraiment, c’est une certitude, le progrès technologique s’avère vraiment extra et je le démontre en un mot : fifiworld.
Oui, lorsque j’ouvre mon ordinateur pour lire ma page internet fifiworld, c’est incroyable mais c’est vrai, je savoure un immense plaisir.
Si, vous n’avez jamais ressenti cette sensation venue d’ailleurs, ouvrez le blog fifiworld.
Tout le monde devrait regarder fifiworld.
Allez, à la parisienne, comme d’hab.
Hervé
A, au fait ta Grand-Mère te dit merci pour ta carte et je te dis la même chose pour tes deux cartes reçues toutes deux en même temps un jour ouvré après 5ème droite en montant l'escalier.
hervé
Ca y est mec !! Tu y es !! Tu viens de dépasser avec ce post sur Queenstown les 100 pages de texte en Verdana 10 interligne simple et marges normales !! C'est de la folie: ca veut dire qu'en police 12 interligne 1,5, plus les photos, on entre dans le domaine du pavé de 4 à 500 pages. D'ailleurs, je viens de faire l'expérience: en passant le texte en Verdana 12 interligne 1,5, on atteint 200 pages (197 exactement). A ce rythme, tu risques fort de renvoyer le gars Marco Polo à son bac à sable et son bouquin au placard même si ton voyage a duré soixante fois moins longtemps que le sien !!
P.S. Très belle ta laguna azur ! et très belle la photo du bateau amarré à Queenstown.
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